Héhé

Si vous etes parisiens, allez un jour traîner vos guêtres a la librairie japonaise JUNKU, rue des Pyramides, a 20 mètres de l'avenue de l'Opéra . Lorsque vous aurez vu une petite vendeuse japonaise remplir a la main (
et au stylo-bille, pardonnez-lui, elle est si jeune et innocente ...) et à toute berzingue un bon de commande (en kanjis naturellement), vous realisez que l'épaisseur de trait, les pleins et les déliés ne sont pas sa priorité ... Il faut l'avoir vu, c'est tres impressionnant quand on sue soi-meme sang et eau pour tracer laborieusement et à vitesse escargotine quelques malheureux kanjis, en se gourant qui plus est dans l'ordre des traits...
En tous cas, merci pour ces indications

! Chez Sailor, j'avais craqué, sur des critères purement esthétiques, de "ligne" du stylo, sur la gamme des 1911. J'imagine que ce qui les différencie des Sapporo, au niveau fonctionnel, ce sont les qualités de plumes utilisées ?
Pour être plus précis sur mon besoin, j'assiste a des conférences de "civilisation japonaise" au sens tres large du terme, données en français ou en anglais, mais où l'enseignant donne la transcription en kanjis de certains éléments (par exemple les noms d'auteurs et les titres d'ouvrages s'il s'agit de littérature). Donc mes notes sont un "mix" de 90% de français, et de 10% de kanjis... L'instrument d'écriture doit etre bilingue , et pouvoir "glisser" lorsqu'il s'agit de français, et encaisser la "rafale" de traits qui constitue les kanjis.