297592949529 a écrit : ↑06 avr. 2025 15:50
Très joli Johann Strauss , superbe agrafe
Oui, c'est ce qui me l'avait fait acheter. Pour le reste, c'est un 146 tout simplement !
Dans la vie, il faut savoir être souple ! Orange = modération, Noir = sans modération.
En cas de désaccord avec la modération, veuillez avoir l'obligeance de contacter Leibniz ou PDZ.
297592949529 a écrit : ↑06 avr. 2025 18:43
J'aime beaucoup son esthétique, la plume avec la chauve souris
Oui, un référence amusante à l'opérette die Fledermaus
Dans la vie, il faut savoir être souple ! Orange = modération, Noir = sans modération.
En cas de désaccord avec la modération, veuillez avoir l'obligeance de contacter Leibniz ou PDZ.
Pour rigoler un peu je pourrai faire un parallèle avec la flûte traversière puisque outre la forme qui s'apparente à celle du stylo plume, on peut trouver un instrument pour quelques dizaine d'euros s'il est en plastique ou quelques dizaines de milliers d'euros s'il est en or 18K (prix sur demande, mais patte de si (une clé en plus) à plus de 6000 euros).
Le parallèle s'arrête là car la flûte en plastique ne doit pas valoir grand chose niveau son, alors que le stylo plume en plastique écrit et la flûte en or est réservée à des professionnels fortunés qui sauront en tirer des sonorités particulièrement "chaudes et riches" alors que les stylos dégoulinants d'or et de pierre précieuses sont réservés à des clients (brésiliens de passage à Paris ) fortunés qui n'écriront probablement jamais avec
Je comparerais très certainement mes vintages (Edacoto et Gold Starry) à de vieux pianos : selon l'entretien qui en a été fait au fil du temps, ils fonctionneront et auront ce petit plus que les instruments fabriqués récemment n'ont pas, mais parfois, et là je pense à mon Parker 75, son parcours n'a certainement pas, comme un piano balloté de maison en maison, reçu le soin nécessaire à sa conservation, et là, c'est le couac, aucun facteur ne peut en tirer quelque chose, il est irrémédiablement abîmé.
Mes Esterbrook modernes sont eux plutôt des synthétiseurs : il y a plein d'options, on change la plume comme on switche les effets, c'est amusant, clinquant et coloré, mais cela reste populaire, ce ne sont pas des Grand Pleyel !
Lamy Safari, Kaweco Sport, TWSBI Eco : ce sont des flûtes à bec : la prise en main est rapide, on en tire vite quelque chose, on les met souvent dans les mains des enfants de part leur coût réduit.
Sailor PGS : un petit piccolo, léger, agile, il siffle sans difficulté sur la partition page, il passe partout et même s'il est d'un certain budget, il reste modeste, sans fioritures ni gadgets, un Yamaha certainement, la précision japonaise !
Pour finir, celui que je comparerais à ma harpe, c'est mon Esterbrook Relief vintage : bel objet, plume aux "sonorités" originales, mais question entretien, il faut du temps. Tout comme accorder 38 cordes, son nettoyage est fastidieux ! Trouver le bon angle d'attaque de ce stylo, la bonne position de la main, c'est un travail d'apprentissage, il ne se laisse pas faire !
Je suis nul en instruments de musique mais je dirais une flûte à bec, la forme étant finalement assez proche et sa praticité d'emport semblable.
Elle accompagnait l'éveil à la musique et permettait de s'y initier. Son utilisation est pour le reste assez confidentielle bien que certaines puissent être exceptionnellement jolie et agréable à écouter.
Quelle soit premier prix en plastique ou sur mesure par un facteur, si on ne fait pas l'effort d'apprendre à l'utiliser, le morceau joué sera horrible à entendre.
Alors qu'un excellent flûtiste saura tirer le meilleur parti de l'instrument qu'il utilise.
"Toutes les grandes personnes ont d’abord été des enfants, mais peu d’entre elles s’en souviennent."
"Le Petit Prince" - Antoine de Saint-Exupéry , merci Taranis pour cette signature.