Mon livre de « true crime » dispo en librairie
Posté : 30 août 2023 14:05
J’espère ne pas enfreindre les règles du forum en publiant ce post qui, certes, est une autopromo, mais concerne aussi notre obsession commune
Comme l’indique mon pseudo, je suis journaliste, et je viens de publier mon premier livre, un récit de « true crime » paru aux éditions 10/18 intitulé « L’Inconnu de Cleveland ».
Cette enquête écrite comme un polar raconte l'histoire vraie de l'affaire Joseph Chandler, l'un des mystères judiciaires les plus fascinants des États-Unis.
En juillet 2002, ce retraité solitaire et mutique se suicide par arme à feu dans son studio de la banlieue de Cleveland, Ohio.
La police n'y voit rien de suspect, jusqu'à ce qu'un détective privé découvre qu'il vivait depuis 24 ans sous une identité volée, celle d'un enfant tué dans un accident de voiture.
Qui était vraiment cet homme à la personnalité et aux habitudes si étranges ? Quel passé encombrant voulait-il cacher ?
Je me suis rendu dans l'Ohio pour enquêter.
Au-delà du plaisir de partager cette réjouissante actualité, je tiens à souligner ici qu’environ 1/4 du texte a été accouché à la main, ou plus précisément à la plume.
En effet, je commence toutes mes journées d’écriture par quelques pages de chauffe rédigées au stylo plume pour amorcer la machine. Sans quoi rien ne sort.
Je reprends ensuite la plume à chaque fois que je butte sur une phrase qui me résiste, ou que je suis en panne d’inspiration, ce qui arrive très fréquemment
Pour ce texte, j’ai utilisé mon Waterman Standard à plume semi-flex révisé jadis par Pollux, mon Diplomate Magnum, et sur la fin, le Parker Duofold International Pinstripes acheté à Topodoco ici même. J’écris sur un bloc Midori A4 dont j’aime la texture un poil rugueuse.
L’utilisation d’encres différentes (Waterman Black, Kaweco Ruby Red, Sailor Blue) pour chaque stylo, et d'un stylo différent chaque jour permet d'évaluer en un coup d’œil ma productivité d’une séance de travail à l’autre.
(photo en HD si vous cliquez)
C’est en lisant les témoignages d’écrivains comme Neil Gaiman ou Patrick Modiano sur les vertus de l’écriture à la plume que j’ai adopté cette bonne pratique. Elle rend l’acte d’écrire plus concret et, au final, me fait gagner du temps. D’autant que la retranscription de la feuille à écran est aussi l’occasion d'effectuer à une première relecture « à chaud » et de voir tout de suite ce qui cloche.
Comme l’indique mon pseudo, je suis journaliste, et je viens de publier mon premier livre, un récit de « true crime » paru aux éditions 10/18 intitulé « L’Inconnu de Cleveland ».
Cette enquête écrite comme un polar raconte l'histoire vraie de l'affaire Joseph Chandler, l'un des mystères judiciaires les plus fascinants des États-Unis.
En juillet 2002, ce retraité solitaire et mutique se suicide par arme à feu dans son studio de la banlieue de Cleveland, Ohio.
La police n'y voit rien de suspect, jusqu'à ce qu'un détective privé découvre qu'il vivait depuis 24 ans sous une identité volée, celle d'un enfant tué dans un accident de voiture.
Qui était vraiment cet homme à la personnalité et aux habitudes si étranges ? Quel passé encombrant voulait-il cacher ?
Je me suis rendu dans l'Ohio pour enquêter.
Au-delà du plaisir de partager cette réjouissante actualité, je tiens à souligner ici qu’environ 1/4 du texte a été accouché à la main, ou plus précisément à la plume.
En effet, je commence toutes mes journées d’écriture par quelques pages de chauffe rédigées au stylo plume pour amorcer la machine. Sans quoi rien ne sort.
Je reprends ensuite la plume à chaque fois que je butte sur une phrase qui me résiste, ou que je suis en panne d’inspiration, ce qui arrive très fréquemment
Pour ce texte, j’ai utilisé mon Waterman Standard à plume semi-flex révisé jadis par Pollux, mon Diplomate Magnum, et sur la fin, le Parker Duofold International Pinstripes acheté à Topodoco ici même. J’écris sur un bloc Midori A4 dont j’aime la texture un poil rugueuse.
L’utilisation d’encres différentes (Waterman Black, Kaweco Ruby Red, Sailor Blue) pour chaque stylo, et d'un stylo différent chaque jour permet d'évaluer en un coup d’œil ma productivité d’une séance de travail à l’autre.
(photo en HD si vous cliquez)
C’est en lisant les témoignages d’écrivains comme Neil Gaiman ou Patrick Modiano sur les vertus de l’écriture à la plume que j’ai adopté cette bonne pratique. Elle rend l’acte d’écrire plus concret et, au final, me fait gagner du temps. D’autant que la retranscription de la feuille à écran est aussi l’occasion d'effectuer à une première relecture « à chaud » et de voir tout de suite ce qui cloche.