Prêt à écrire de nouvelles pages
Posté : 20 mai 2023 00:51
Bonjour à tous,
Je consultais ce forum de temps à autre, et j'ai fini par faire le pas.
Une petite présentation : collectionneur compulsif et utilisateur de stylo-plume.
Comme d'autres de mon âge (jeune sexagénaire), je fais partie des derniers à avoir appris à écrire au porte-plume à l'école publique : plume Sergent Major et encre violette versée à la bouteille dans l'encrier en porcelaine encastré dans le coin de la table scolaire. Et au primaire, le stylo-bille restait interdit...
Dans les années 70, mon père, professeur, corrigeait ses copies avec ses stylos Pélikan 400, j'en ai gardé une admiration pour les plumes (ces plumes me semblaient plus grandes à l'époque, elle n'ont pas rétréci mais j'ai grandi...)
En commençant par deux anciens stylos trouvés dans une brocante il y a une trentaine d'années et rafistolés, le virus m'a pris : je ne les compte plus (bien plus de 100 en tout cas). Après les vintages du début (ébonite, filigree, celluloïd,...), j'ai fini par passer aux modernes, moins fragiles et plus sûrs pour tous les jours.
Et les flacons d'encre bien sûr, que je ne compte pas.
En ce moment une quinzaine de stylos encrés, chacun avec son encre différente.
Ravi de rejoindre autant de passionnés. Dommage, ce post n'est pas écrit à la plume !
Je consultais ce forum de temps à autre, et j'ai fini par faire le pas.
Une petite présentation : collectionneur compulsif et utilisateur de stylo-plume.
Comme d'autres de mon âge (jeune sexagénaire), je fais partie des derniers à avoir appris à écrire au porte-plume à l'école publique : plume Sergent Major et encre violette versée à la bouteille dans l'encrier en porcelaine encastré dans le coin de la table scolaire. Et au primaire, le stylo-bille restait interdit...
Dans les années 70, mon père, professeur, corrigeait ses copies avec ses stylos Pélikan 400, j'en ai gardé une admiration pour les plumes (ces plumes me semblaient plus grandes à l'époque, elle n'ont pas rétréci mais j'ai grandi...)
En commençant par deux anciens stylos trouvés dans une brocante il y a une trentaine d'années et rafistolés, le virus m'a pris : je ne les compte plus (bien plus de 100 en tout cas). Après les vintages du début (ébonite, filigree, celluloïd,...), j'ai fini par passer aux modernes, moins fragiles et plus sûrs pour tous les jours.
Et les flacons d'encre bien sûr, que je ne compte pas.
En ce moment une quinzaine de stylos encrés, chacun avec son encre différente.
Ravi de rejoindre autant de passionnés. Dommage, ce post n'est pas écrit à la plume !