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C'est vrai que des cartes postales sur une île déserte c'est pas gagné !
J'aime bien l'idée des cartes postales de Christof, à dessiner d'un côté et écrire de l'autre, en plus ça occupe sur l'ile

Pour celui me concerne, pour une direction moins lointaine j'espère ...
- un preppy qui ne crains rien, avec une de ses cartouches d'encre (propriétaire platinum vendue à prix d"or, 5 cartouches ça fait le prix du stylo ) avec une jolie bille dedans. Encre violette dans un stylo violet ...
- pour le papier, pas vraiment de préférence, mais j''aime bien mon petit carnet midori

Et aussi, quand je n'ai pas peur de le perdre, un Capless violet avec pour plus de facilité une cartouche Pilot bleu-noir
Et un Capless à bille (mais non, je n'ai pas honte ) bleu foncé, avec un motif qui s'appelle carbonesque

Comme anneclaire pour le stylo: un preppy
Comme Silverado pour l'encre: Noodler's HOD
Et un carnet Oxford optik paper

Ah - je vois que nous avons une façon bien différente de lire cette question. Je n'avais pas pensé prendre l'ile déserte de façon littérale... je vais donc continuer avec mon idée initiale.

Stylo - Mon DURO2 noir et des sacs pour le réparer si besoin
Encre - Sailor Oku Yamma
Papier - Traccia 55 g/m2

Et puis quelques crayons de couleurs et un porte mine - nah !

Qu’elle idée bizarre, qu’est ce que j’irais faire dans une île déserte ?

Disons que mon île déserte soit un lieu propice à la réflexion, coupé d’internet. Un lieu où on arrive à se procurer l’essentiel pour la subsistance, les encres et recharges pour stylo n’en faisant pas parti.

Pour immortaliser mes pensées je choisirai un stylo sobre, robuste et qui me procure du plaisir en écrivant pour m’inciter à l’utiliser. Peut-être choisirais-je mon aurora 88 vintage avec sa plume étonnamment flexible pour une plume capotée. La contenance de son piston éviterait des remplissages trop fréquents. Cependant comme tous les vintages il pourrait s’avérer capricieux pendant les phases de déplacement. Aussi je l’accompagnerai d’un x450, indestructible outil, certes beaucoup moins inspirant mais parfaitement adapté aux situations tout terrain.

Pour l’encre je la voudrais sobre et élégante, une MB midnight blue ferait l’affaire, mais en réalité je la choisirai à l’instinct 2 minutes avant de boucler mon sac.

Pour le carnet je prendrai un leuchtturm tout beau tout neuf avec des points.

Personnellement, s'il reste un peu d'encre dans mon Kaweco Brass Sport et quelques pages non encore gribouillées dans mon TN, je serais ravi d'écrire encore un peu, d'écrire tout et n'importe quoi, des lettres, des mots, juste pour le plaisir de l'écriture, du souvenir, de la parole perdue, de l'humanité, à défaut de la civilisation !

Caribou a écrit : ↑08 juil. 2022 13:44 ...écrire encore un peu, d'écrire tout et n'importe quoi, des lettres, des mots, juste pour le plaisir de l'écriture, du souvenir, de la parole perdue, de l'humanité, à défaut de la civilisation !

Tout est dit.
+1

en plus, si l'ile est déserte ça fait au moins quelqu'un à qui causer

Finalement, sur une île déserte, ne serait-ce pas l'endroit idéal pour emporter toute sa collection de Montblanc à 10000 boules la pièce ? Là au moins, il n'y aura personne pour les piquer.

Mirifix78 a écrit : ↑09 juil. 2022 11:24 Finalement, sur une île déserte, ne serait-ce pas l'endroit idéal pour emporter toute sa collection de Montblanc à 10000 boules la pièce ? Là au moins, il n'y aura personne pour les piquer.

L'air marin, le sel, le soleil ça peut peut être abimer les précieux...
A ajouter à la valise calamophile pour l'île déserte, je propose d'apporter un livre qui explique comment faire son encre à partir plantes, pour éviter la panne sèche

En principe, ce qui est précieux est inaltérable.

Mirifix78 a écrit : ↑09 juil. 2022 11:24 Finalement, sur une île déserte, ne serait-ce pas l'endroit idéal pour emporter toute sa collection de Montblanc à 10000 boules la pièce ? Là au moins, il n'y aura personne pour les piquer.

How true !

En êtes-vous sûrs ?