www.stylo-plume.org

Alain146 a écrit : ↑17 mars 2019 16:17 Mon stylo préféré me dit qu'il n'accorde aucune interview... Je vais essayer d'en trouver un qui se la pète un peu moins.

Pollux a écrit : ↑18 mars 2019 12:00 J'avoue que j'avais quelques doutes sur l'histoire d'Alain, complétée par Toltotoll, ... mais en vérifiant sur le site "fakenewsFBI.com", effectivement, on apprend que toute cette histoire est vraie !
Merci de nous l'avoir racontée, Messieurs !


Pour ma part, et pour revenir au SDD, je parle très mal allemand, et il m'est complétement impossible d’interviewer mon Monblanc 139 préféré, ... lui-même parlant peu le français...
On se limite donc à quelques mots, ... wunderbar, schön, Ich bin frôh ! ... mais ca ne va pas très loin, ...

Alain146 a écrit : ↑17 mars 2019 22:00 Probablement la seule histoire vraie que j'ai publiée sur le forum à propos de l'origine de certains stylos du petit musée et probablement la seule que personne ne croit. Mais si vous voulez je peux, pour vous faire plaisir en raconter une autre . Celle du Parker 51 de Kennedy par exemple...
Le président Kennedy au moment de l'attentat de Dallas avait dans la poche de son veston son Parker 51. Dans l'affolement général qui s'en est suivi bien sûr personne ne s'est vraiment préoccupé de ce stylo ce qui est parfaitement compréhensible. Ce n'est qu'à l'hôpital qu'une infirmière vidant les poches du malheureux président trouve le stylo et pour le rendre à la famille le met provisoirement dans son sac à main attendant un moment plus calme. Malheureusement vu les circonstances , les couloirs envahis par le FBI, les agents secrets de tous poils , les journalistes, les chirurgiens etc la pauvre infirmière oublie le stylo et ce n'est que rentré chez elle qu'elle s'aperçoit de sa maladresse. Ne sachant plus quoi faire mais n'osant plus le rendre bien entendu elle décide de s'en débarasser. Elle en fait cadeau à son petit neveu en lui expliquant un peu de quoi il retourne. Jimmy O'brian (c'est le nom du neveu) se dit tiens voilà un joli stylo j'en tirerai bien quelques sous pour donner à manger à ma famille. Le lendemain dans la rue à Dallas il rencontre un tas de policiers un peu légèrement affairés mais aussi un journaliste Français dont je tairai le nom , qui pour 15 dollars rachète le précieux stylo-plume . Ce même journaliste de retour en France , un peu fatigué, décide d'emmener sa femme au ski en Suisse en passant par Yverdon. Il voit ma boutique et se dit" et si je payais un bout de mes remontées mécaniques en vendant mon 51 à ce petit musée bien sympathique ?" . Emu par cette histoire et aussi ahurissant que cela paraisse, l'affaire fut conclue aussitôt. Et c'est ainsi que ce fameux stylo est maintenant ici. Mais pour ne pas avoir d'ennui avec les services secrets je l'ai mélangé à la collection de 51 du musée et je n'ai plus la moindre idée duquel c'est. C'est moche. Voilà.