Cela ne se présente pas bien :
J’ai son nom (Mercury) mais je n’ai ni son prénom (non, ce n’est pas Freddy, j’ai vérifié)

Vintage or not vintage ? Ne sachant pas répondre à la question et de peur de me faire tirer l’oreille, j’ai posté ici.

Déçu, évidement, en ouvrant le bouquin « 100 stylos de légende », je n’espérais pas le retrouver calé entre le Meisterstuck Squelette et le Montegrappa Dragon mais rien sur cette marque belge dans tous les autres bouquins en ma possession.
C’est sur la toile que j’en ai tiré les renseignements et en particulier sur le site « Beluxpenshow2007 » donc voici quelques extraits :
Mercury est une marque de stylographie belge née en 1948. Pendant les trente premières années d'existence c'est son fondateur Mr Louis Dammaerts, qui a présidé aux destinées de la marque. Louis Dammaerts naît en 1919 et entre dans le monde de la stylographie par la petite porte puisque, dans l’entre-deux guerres, il travaille comme réparateur chez Parker. A la fin de la seconde guerre mondiale, comme tant d’autres sans travail, il décide de créer sa propre entreprise.
C’est ainsi que naît l’activité. Il distribue en Belgique diverses marques (Lamy, Rally, ou encore, jusqu'à fin des années quatre-vingt, l'importation exclusive Montblanc en Belgique). En parallèle à ces distributions, Louis Dammaerts, à la fois habile gestionnaire commercial et manufacturier compétent, solidement épaulé au niveau administratif par son épouse Nelly Pirotton, née en 1920, décédée en janvier 2003, et d’un technicien, Julien Daras, dessinateur à ses heures, lance Mercury. C’est ce dernier qui réalisera le premier logo Mercury, un condor en vol sous une mappemonde et un stylo. Apparaissent les Deluxe et autres Junior. Les plumes or sont produites par DEGUSSA, orfèvre de renom de l’époque au logo évocateur d’un œil grand ouvert à la lumière. Les corps sont produits par NAGELE à SCHWABISCH Gmund (D) La volonté stratégique de ses fondateurs est alors de maintenir la distribution exclusivement dans les belles papeteries spécialisées et commerces de proximité haut de gamme du pays. La Marque axera sa production sur des produits de tradition moyenne gamme. Ses stylos se vendront par milliers, souvent pour en faire le cadeau de communion ou d'intention à un prix démocratique. C’est aussi sous couvert des produits Mercury que seront assemblés des instruments sous d’autres noms, revendeurs locaux comme les «Mon Bijou» de chez DEFFET ou encore les «Tilkin» de la maison du même nom.
En octobre 2002, CDS-Dammaerts, revend Mercury. Ses nouveaux propriétaires la société Dubois - Vutera (qui produit les stylos Valera Matta) l’acquièrent afin de le porter, à moyen terme, au top qualitatif. Il y aura le Lugus, le François de Triche, le 175th Birthday of Belgium, …
Présentation de notre petit Mercury, déniché en brocante.
Stylo avant remplissage (par piston), ce qui montre la couleur bleutée de la fenêtre. On peut remarquer son excellente état, je suppose même qu’il n’a jamais été encré. Sur le corps du stylo, est gravé « MERCURY ».
Voilà, le petit test fait sur cahier Atoma 90g.

Comparaison avec un Expert et un Targa.
Vue sur le clip frappé « M ».
La petite plume capotée.
Ici, tentative d’une prise de vue à la Hobiecat, c’est pas gagné

